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Primaires de gauche.
13/01/2017 10:02
Il y avait une femme, raisonnable. Mais elle jouait le rôle de l'alibi féministe. Les autres, des hommes, étaient vêtus comme des employés des pompes funèbres. Ils ne voulaient pas s'affronter, alors le débat était un peu terne. L'absence de cravate de Benhamias n'a pas suffit à le valoriser. Ils s'exprimaient correctement sur leur programme et Peillon n'a pu s'empêcher de parler philosophie.
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Incongruité.
12/01/2017 10:15
C'est une situation cocasse que celle de l'élection de Trump. On a l'impression qu'il a été élu pour qu'on puisse en dire du mal et le soupçonner du pire. Il est le revers de la doublure d'Obama. On peut se demander s'il tiendra plus chaud en hiver ou si on le considérera comme un sorte de clown qui fait rire ou pleurer.
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Tas d'egos.
11/01/2017 09:06
On voudrait écrire une pièce de théâtre ensemble mais je crains que cela ne soit impossible. Chacun a ses idées et son style d'écriture. Tout est sans suite logique, avec des affrontements dans la cohérence des personnages. On finit par s'engueuler et je crains que nous en resterons là, sans savoir si le groupe pourra survivre.
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Proximité.
10/01/2017 08:42
Pour que l'on se sente proche d'une personne décédée, des conditions spéciales sont nécessaires. Il faut un environnement très simple et un entourage favorable. Pas de contentieux psychologique ou de question d'héritage. Ne pas se laisser submerger par des souvenirs. Il faut se sentir seul en présence de l'essence de ce qu'est, pour toujours, cette personne.
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Nid de vipères.
09/01/2017 10:33
Si on en croit une émission télévisée sur la gauche, nous aurions à faire à des crabes et à une succession de mauvais coups et de revirements intéressés. On peut supposer que serait la même chose à droite. C'est du machiavélisme sans Machiavel, dont la pensée avait le Bien de l'Etat comme finalité. Ces histoires sont à la fois insignifiantes et nauséabondes.
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